Interview sur les réseaux sociaux et la politique

Je suis souvent interrogé par des journalistes mais aussi des étudiants sur le sujet « réseaux sociaux » suite à mes livres, bien entendu.

Je répond bien volontiers, y compris quand c’est dans un cadre « non-public » (c’est-à-dire qui n’est pas destiné à être publié). Or, mercredi dernier, j’ai été interrogé par Sandrine CAMPESE (Diplômée de Science Po Aix et titulaire d’un Master II « Communication Politique et Sociale » à Paris I – La Sorbonne) pour un mémoire qu’elle prépare sur le sujet « réseaux sociaux et utilisation par les politiques. Sandrine ayant eu la délicatesse de m’envoyer la transcription de cet « interview » (qui a été réalisé via Skype), je me suis dit que je pouvais aussi vous en faire « profiter »…

Attention : certaines de mes réponses pourront paraitre âpres mais c’était dans le feu de la conversation… Il faut replacer cela dans le contexte et je suis prêt à expliquer mes prises de positions si nécessaire.

INTERVIEW ALAIN LEFEBVRE

MERCREDI 5 NOVEMBRE

PAR SKYPE.

Quand avez –vous créé votre profil sur Facebook ?

J’ai créé mon profil au printemps 2007, au moment où Facebook commençait à prendre de l’ampleur.

Avez-vous une sensibilité politique ?

Je ne suis pas du tout politisé, et j’ai même du mal à comprendre comment on peut s’y intéresser. Je trouve que le miroir dans lequel se reflète notre monde est très moche. Il n’y a pas de sincérité, ni d’efficacité, pas de fond, rien ! La classe politique donne l’illusion d’avoir du pouvoir, d’avoir la main sur la société, alors que le vrai pouvoir est économique. 

Dans votre dernier ouvrage,  vous évoquez l’intérêt des réseaux sociaux,  notamment au niveau professionnel. Avez-vous  eu l’occasion de réfléchir à leur utilisation politique ?

Dans la première édition de mon livre, j’avais évoqué les pratiques des élections présidentielles de 2004 aux Etats-Unis.  Un site de réseau social, spécialisé dans les rencontres, MeetUp, avait été très utilisé par un candidat aux primaires, Howard Dean. Cela avait contribué à le faire connaître, puisque tous les militants de son bord l’avaient systématiquement utilisé.

Que pensez-vous des politiques français qui rejoignent en masse le réseau Facebook ? 

Quand on est une personnalité publique, de surcroit politique, il faut savoir gérer son identité numérique, et cela passe par les réseaux sociaux. Il est nécessaire de créer un profil sur Facebook ne serait-ce que pour faire disparaître les « fake ». Il vaut mieux préempter son propre espace plutôt que de le laisser en jachère à des malveillants.

Sur les réseaux sociaux, la politique, c’est comme la guerre ou l’espionnage. On est dans l’action, mais aussi dans la contre-action. Si je voulais nuire à un candidat, je créerais le « fake » le plus crédible possible !

Selon vous, est-il important, pour un homme politique, d’avoir beaucoup d’ « amis » ?

Je pense que plus anecdotique qu’autre chose. Le nombre d’amis n’intéressent que ce qui n’ont pas bien saisi le fonctionnement du système. Ce qui compte, c’est la présence réelle de l’homme politique sur le réseau : tient-il ses contacts au courant de son activité, met-il à jour son statut, etc ?  L’effet positif, à court ou moyen terme : c’est la transparence. En utilisant Facebook comme un vecteur de communication auprès des jeunes, l’homme politique se rend accessible.

Comment un homme politique peut-il maximiser son utilisation d’Internet ?

Les politiques ont toujours été terriblement maladroits dans leur utilisation du net au sens large, et ce avant même l’apparition des réseaux sociaux.  On a pu observer que, dans le meilleur des cas, leurs sites étaient travaillés sur l’aspect visuel mais très médiocres sur le fond. 

Or, lorsqu’un site web n’est pas régulièrement mis à jour, lorsque le contact indiqué n’est pas valable, lorsqu’on n’obtient pas de réponse après avoir envoyé un message ou posté un commentaire, alors ce site est disqualifiant pour celui qui l’a créé ! Mieux vaut ne pas être présent sur le net que l’être de cette manière !

Justement, quel conseil donneriez-vous à un politique pour bien utiliser le réseau Facebook ?

Je lui conseillerai de commencer par bien utiliser Facebook, et de ne pas s’éparpiller sur tous les réseaux !

En communication, la règle d’or, c’est d’utiliser peu d’outils internet, mais de bien les utiliser. Par exemple, si on a seulement le temps d’envoyer des mails, eh bien on n’utilisera que des mails. De la même façon, on peut n’utiliser que Twitter,  si on n’a pas le temps de poster sur un forum. Sur Facebook, je considère que le minimum qu’un homme politique peut faire, c’est actualiser son statut. 

Autre conseil : refuser systématiquement toutes les « mini-applications ». Un profil qui en est truffé, ça ne fait pas sérieux et on tombe dans le « gadget ».

Les réseaux sociaux vont –ils prendre la place des blogs ?

La réponse classique consiste à dire que les blogs et les réseaux sociaux sont complémentaires : l’un ne remplace pas l’autre, il faut avoir les deux.

En vérité, il ne faut avoir que ce dont on se sert. Ce que les gens oublient parfois, c’est que tout ce qui est fait sur Internet a un impact soit positif, soit négatif, mais jamais neutre. Donc oui pour avoir un blog, mais s’il n’est pas entretenu, c’est négatif ! Oui pour être présent sur les réseaux sociaux, mais si on n’est pas disponible, si on ne répond pas aux sollicitations, c’est négatif ! Internet n’est qu’une loupe grossissante des qualités mais aussi des défauts de chacun.

Vous avez choisi  de parler des réseaux sociaux parce que c’est la mode en ce moment. Cela ne veut pas forcément dire que c’est le meilleur dispositif à utiliser.

Quel est l’intérêt de Facebook par rapport aux blogs ?

Il y a plus de monde sur Facebook. De plus, le blog demande du suivi, un effort de lecture, plus d’investissement.  Les réseaux sociaux permettent d’accéder à plus de monde, plus facilement, et la rentabilité des efforts est  plus grande. Mais on peut aussi créer un blog sur Facebook et publier des articles.

Quelles sont, selon vous, les limites des réseaux sociaux comme Facebook ?

Il ne faut pas oublier que le fond vient de l’utilisateur, jamais de l’outil. Un blog où sont publiées des choses sans intérêt ne marchera pas ! De la même façon, Ségolène Royal aura beau utiliser n’importe quel outil du web, elle restera « nunuche ».

Peut-on imaginer qu’un candidat créé son propre réseau social dans une perspective électorale ?

Oui, bien sûr, mais ça me paraît plus intéressant d’aller chercher les gens où ils sont. Je leur conseillerais d’aller simplement sur Facebook plutôt que d’essayer d’orienter l’audience sur un service particulier. Tout ce travail de mobilisation doit être fait de façon intelligente, subtile…

Croyez-vous qu’Internet puisse devenir un cinquième pouvoir ?

Je ne crois pas trop à cette idée de « cinquième pouvoir ». Il y a 5 ans, beaucoup ont dit que le Web 2, participatif allait changer les choses, revitaliser la démocratie, la participation. Or l’échec a été total.

Quand on regarde de plus près les sites participatifs, on ne peut que remarquer la vacuité des débats, la nullité des échanges, les torrents de boue publiés sur Agoravox ! Certes on y trouve quelques très bons articles publiés par des amateurs éclairés. Mais quand on lit les commentaires qui suivent, on est effondré.  C’est déprimant, cette armée de trolls qui met des commentaires absurdes sans même avoir lu l’article. Et c’est cela qu’on appelle « participation » ? 

Internet a permis au plus grand nombre de s’exprimer et a démontré dans le même temps, que le plus grand nombre ne valait pas grand-chose ! C’est la règle des 80-20 (cf le nombre de Pareto). Il n’y a rien à attendre de la masse. Internet ne redonnera pas gout de la politique au citoyen. Depuis  5 ans, le niveau moyen intellectuel, culturel, s’effondre complètement. Tout ça à cause de la manipulation globale organisée par les média et leur rôle d’abrutissement généralisé.  Les hommes politiques devraient dire : « arrêtez de consommer des médias ! », mais ils ne peuvent pas, puisqu’ils en ont eux-mêmes besoin.

Etes-vous d’accord pour dire que le règne de l’opinion a remplacé celui de la connaissance ?

Le règne de l’opinion, c’est désastreux. On est passé d’une petite oligarchie d’experts et d’universitaires verrouillant l’accès à la connaissance, à un système où n’importe quel « crétin » peut s’exprimer au même rang que quelqu’un de censé. Le retour de balancier est trop fort. Le problème du village global, c’est l’idiot du village global ! Or, ils sont plus nombreux que ce qu’on avait supposé au départ. 

Le mot de la fin ?

En résumé, Facebook c’est bien, parce que c’est à la mode et que c’est un outil de diffusion rapide qui permet de rassembler et d’offrir le meilleur retour sur investissement.  Mais Facebook ne fait pas de miracle et il faut se méfier de ses effets négatifs !

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Encore sur le 9/11 : le cas du WTC7…

Cette vidéo focalise cette fois sur le 3ème building qu s’est effondré sur lui-même 7 heures après les twins…

Les images parlent d’elles-mêmes !

Cette vidéo d’une vingtaine de minutes est bien faite et entièrement sous-titrée en français… plus de raison de s’en priver. Lien direct à http://video.google.fr/videoplay?docid=-9058644522976940152&pr=goog-sl

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Le contrat tacite des gens qui dorment !

Ce que vous allez lire ci-dessous n’est pas de moi (comme le dit fort justement Johannes Roussel, j’aime bien le copier/coller…) mais je le trouve très intéressant et significatif. On peut le trouver un peu caricaturale mais, en fait, c’est assez bien trouvé : oui, l’ensemble de ces points représente bien la chape de plomb qui pèse sur les masses qui acceptent toutes les règles absurdes de la techno-structure (et qui nous mènent au désastre).

Si vous le préférez avec son et images, voici la version vidéo :

1) J’accepte la compétition comme base de notre système, même si j’ai conscience que ce fonctionnement engendre frustration et colère pour l’immense majorité des perdants
2) J’accepte d’être humilié ou exploité a condition qu’on me permette a mon tour d’humilier ou d’exploiter quelqu’un occupant une place inférieure dans la pyramide sociale
3) J’accepte l’exclusion sociale des marginaux, des inadaptés et des faibles car je considère que la prise en charge de la société a ses limites
4) J’accepte de rémunérer les banques pour qu’elles investissent mes salaires à leur convenance, et qu’elles ne me reversent aucun dividende de leurs gigantesques profits (qui serviront a dévaliser les pays pauvres, ce que j’accepte implicitement). J’accepte aussi qu’elle prélèvent une forte commission pour me prêter de l’argent qui n’est autre que celui des autres clients
5) J’accepte que l’on congèle et que l’on jette des tonnes de nourriture pour ne pas que les cours s’écroulent, plutôt que de les offrir aux nécessiteux et de permettre à quelques centaines de milliers de personnes de ne pas mourir de faim chaque année
6) J’accepte qu’il soit interdit de mettre fin à ses jours rapidement, en revanche je tolère qu’on le fasse lentement en inhalant ou ingérant des substances toxiques autorisées par les états
7) J’accepte que l’on fasse la guerre pour faire régner la paix. J’accepte qu’au nom de la paix, la première dépense des états soit le budget de la défense. J’accepte donc que des conflits soient créés artificiellement pour écouler les stocks d’armes et faire tourner l’économie mondiale
8) J’accepte l’hégémonie du pétrole dans notre économie, bien qu’il s’agisse d’une énergie coûteuse et polluante, et je suis d’accord pour empêcher toute tentative de substitution, s’il s’avérait que l’on découvre un moyen gratuit et illimité de produire de l’énergie, ce qui serait notre perte
9) J’accepte que l’on condamne le meurtre de son prochain, sauf si les états décrètent qu’il s’agit d’un ennemi et nous encouragent à le tuer
10) J’accepte que l’on divise l’opinion publique en créant des partis de droite et de gauche qui passeront leur temps à se combattre en me donnant l’impression de faire avancer le système. j’accepte d’ailleurs toutes sortes de divisions possibles, pourvu qu’elles me permettent de focaliser ma colère vers les ennemis désignés dont on agitera le portrait devant mes yeux
11) J’accepte que le pouvoir de façonner l’opinion publique, jadis détenu par les religions, soit aujourd’hui aux mains d’affairistes non élus démocratiquement et totalement libres de contrôler les états, car je suis convaincu du bon usage qu’ils en feront
12) J’accepte l’idée que le bonheur se résume au confort, l’amour au sexe, et la liberté à l’assouvissement de tous les désirs, car c’est ce que la publicité me rabâche toute la journée. Plus je serai malheureux et plus je consommerai : je remplirai mon rôle en contribuant au bon fonctionnement de notre économie
16) J’accepte que l’on me présente des nouvelles négatives et terrifiantes du monde tous les jours, pour que je puisse apprécier a quel point notre situation est normale et combien j’ai de la chance de vivre en occident. Je sais qu’entretenir la peur dans nos esprits ne peut être que bénéfique pour nous
17) J’accepte que les industriels, militaires et politiciens se réunissent régulièrement pour prendre sans nous concerter des décisions qui engagent l’avenir de la vie et de la planète
18) J’accepte de consommer de la viande bovine traitée aux hormones sans qu’on me le signale explicitement. J’accepte que la culture des OGM se répande dans le monde entier, permettant ainsi aux trusts de l’agroalimentaire de breveter le vivant, d’engranger des dividendes conséquents et de tenir sous leur joug l’agriculture mondiale
19) J’accepte que les banques internationales prêtent de l’argent aux pays souhaitant s’armer et se battre, et de choisir ainsi ceux qui feront la guerre et ceux qui ne la feront pas. Je suis conscient qu’il vaut mieux financer les deux bords afin d’être sûr de gagner de l’argent, et faire durer les conflits le plus longtemps possible afin de pouvoir totalement piller leurs ressources s’ils ne peuvent pas rembourser les emprunts
20) J’accepte que les multinationales s’abstiennent d’appliquer les progrès sociaux de l’occident dans les pays défavorisés. Considérant que c’est déjà une embellie de les faire travailler, je préfère qu’on utilise les lois en vigueur dans ces pays permettant de faire travailler des enfants dans des conditions inhumaines et précaires. Au nom des droits de l’homme et du citoyen, nous n’avons pas le droit de faire de l’ingérance
21) J’accepte que les hommes politiques puissent être d’une honnêteté douteuse et parfois même corrompus. Je pense d’ailleurs que c’est normal au vu des fortes pressions qu’ils subissent. Pour la majorité par contre, la tolérance zéro doit être de mise
26) J’accepte que la nature ait pu mettre des millions d’années pour créer un être humain dont le seul passe-temps soit la destruction de sa propre espèce en quelques instants
27) J’accepte la recherche du profit comme but suprême de l’Humanité, et l’accumulation des richesses comme l’accomplissement de la vie humaine
28) J’accepte la destruction des forêts, la quasi-disparition des poissons de rivières et de nos océans. J’accepte l’augmentation de la pollution industrielle et la dispersion de poisons chimiques et d’éléments radioactifs dans la nature. J’accepte l’utilisation de toutes sortes d’additifs chimiques dans mon alimentation, car je suis convaincu que si on les y met, c’est qu’ils sont utiles et sans danger
29) J’accepte la guerre économique sévissant sur la planète, même si je sens qu’elle nous mène vers une catastrophe sans précédent
30) j’accepte cette situation, et j’admets que je ne peux rien faire pour la changer ou l’améliorer
31) J’accepte d’être traité comme du bétail, car tout compte fait, je pense que je ne vaux pas mieux
32) J’accepte de ne poser aucune question, de fermer les yeux sur tout ceci, et de ne formuler aucune véritable opposition car je suis bien trop occupé par ma vie et mes soucis. J’accepte même de défendre à la mort ce contrat si vous me le demandez
33) J’accepte donc, en mon âme et conscience et définitivement, cette triste matrice que vous placez devant mes yeux pour m’empêcher de voir la réalité des choses. Je sais que vous agissez pour mon bien et pour celui de tous, et je vous en remercie

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9/11, les vidéos qui renforcent la version officielle…

Soyons objectif et, comme le suggère fort justement Johannes Roussel, il faut aussi mettre en avant les éléments qui sont en accord avec la version officielle.

Voici donc une série de vidéos, plutôt bien faites et intéressantes, qui explique comment et pourquoi les tours jumelles se sont effondrées… à regarder dans l’ordre suivant :

Bien. Alors, ces vidéos ont-elles changé mon point de vue ?
La version officielle redevient-elle crédible tout d’un coup ?
Non, certainement pas !
Car il y a bien trop de points qui ne collent tout simplement pas dans la version validée par tous les grands médias, le plus souvent en dépit du plus élémentaire bon sens…
Voici une liste des points qui devraient vous faire douter des thèses publiées dans la version officielle :
1. L’omission de la preuve qu’au moins six des pirates de l’air présumés (dont Waleed al- Shehri, que la Commission accuse d’avoir poignardé une hôtesse de l’air du vol UA11 avant que celui-ci s’écrase sur la tour Nord du World Trade Center) sont toujours vivants (19-20).
2. L’omission des preuves concernant Mohamed Atta (comme son penchant signalé pour l’alcool, le porc et les danses érotiques privées – lap dances – ) sont en contradiction avec les affirmations de la Commission selon lesquelles il était devenu un fanatique religieux (20-21).
3. La confusion volontairement créée autour des preuves que Hani Hanjour était un pilote trop incompétent pour amener un avion de ligne à s’écraser sur le Pentagone (21-22).
4. L’omission du fait que les listes des passagers (flight manifests) rendues publiques ne contenaient aucun nom d’Arabe (23).
5. L’omission du fait qu’un incendie n’a jamais causé l’effondrement total d’un bâtiment à structure d’acier, ni avant ni après le 11 Septembre (25).
6. L’omission du fait que les incendies des Tours Jumelles n’étaient ni extrêmement étendus, ni particulièrement intenses, ni même très longs en comparaison avec d’autres incendies dans des gratte-ciels (de structures) similaires, qui eux ne se sont jamais écroulés (25-26).
7. L’omission du fait qu’étant donné l’hypothèse que les effondrements aurait été provoqués par l’incendie, la Tour Sud, touchée plus tard que la Tour Nord et en proie à des flammes de moindre intensité, n’aurait pas dû s’effondrer la première (26).
8. L’omission du fait que le bâtiment n°7 du WTC (qui n’a pas été touché par un avion et qui ne fut le théâtre que de petits incendies localisés) s’est aussi écroulé, un événement que l’Agence Fédérale pour le Traitement des Situations d’Urgence (FEMA) a reconnu ne pouvoir expliquer (26).
9. L’omission du fait que l’effondrement des Tours Jumelles (et du bâtiment n°7) présente au moins 10 caractéristiques d’une démolition contrôlée (26-27). 10. L’assertion que le coeur de la structure de chacune des Tours Jumelles était « un puits d’acier vide », une affirmation qui nie la présence de 47 massives colonnes d’acier qui constituaient en réalité le coeur de chaque tour et qui, selon la théorie de « l’empilement des étages » (the « pancake theory ») explicative des effondrements, aurait dû restées dressées vers le ciel sur de nombreuses dizaines de mètres (27-28).
11. L’omission de la déclaration de Larry Silverstein [le propriétaire du WTC] selon laquelle il décida, en accord avec les pompiers, de « démolir » (to « pull », argot technique) le bâtiment n°7 (28).
12. L’omission du fait que l’acier des bâtiments du WTC fut rapidement déblayé de la scène du crime et embarqué sur des navires à destination de l’étranger AVANT qu’il puisse être analysé pour y déceler des traces d’explosifs (30).
13. L’omission du fait que le bâtiment n°7 ayant été évacué avant son effondrement, la raison officielle invoquée pour le déblaiement rapide de l’acier [sur ce site] (que certaines personnes puissent être encore vivantes sous les décombres) ne faisait aucun sens dans ce cas précis (30).
14. L’omission de la déclaration du maire R. Giuliani selon laquelle il avait été prévenu que le WTC allait s’effondrer (30-31).
15. L’omission du fait que Marvin Bush, le frère du Président, et son cousin Wirt Walker III étaient tous les deux directeurs de la société chargée de la sécurité du WTC (31-32).
16. L’omission du fait que l’aile Ouest du Pentagone [celle effectivement touchée] était la moins susceptible d’être prise pour cible par des terroristes de al-Qaida, pour plusieurs raisons (33- 34).
17. L’omission de toute discussion pour établir si les dommages sur le Pentagone étaient compatibles avec l’impact d’un Boeing 757 se déplaçant à plusieurs centaines de kilomètres/heure (34).
18. L’omission du fait qu’il existe des photos montrant que la façade de l’aile Ouest ne s’est effondrée que 30 minutes après la frappe, et aussi que le trou d’entrée apparaît bien trop petit pour un Boeing 757 (34).
19. L’omission de tout témoignage contradictoire au sujet de la présence ou de l’absence de débris visibles d’un Boeing 757 que ce soit à l’intérieur ou à l’extérieur du Pentagone (34-36).
20. L’absence de toute discussion pour établir si le Pentagone disposait d’un système de défense anti-missile capable d’abattre un avion de ligne commercial, bien que la Commission suggéra que les terroristes d’al-Qaida n’attaquèrent pas une centrale nucléaire parce qu’ils assumaient qu’elle serait ainsi défendue (36).
21. L’omission du fait que les images de différentes caméras de surveillance (y compris celles de la station service en face du Pentagone, dont le film fut confisqué par le FBI immédiatement après la frappe) pourraient sans doute donner une réponse à ce qui a réellement percuté le Pentagone (37-38).
22. L’omission de la référence du Ministre de la Défense D. Rumsfeld à « un missile [utilisé] pour endommager [le Pentagone] » (39).
23. L’approbation apparente de la réponse totalement insatisfaisante à la question de savoir pourquoi les agents des Services Secrets permirent au Président Bush de rester dans l’école de Sarasota à un moment où, selon la version officielle, ils auraient dû assumer qu’un avion détourné aurait pu prendre l’école pour cible (41-44).
24. L’échec à expliciter pourquoi les Services Secrets n’ont pas demandé la protection de chasseurs pour [l’avion présidentiel] Air Force One (43-46).
25. Les affirmations selon lesquelles lorsque le cortège présidentiel arriva à l’école [de Sarasota], personne dans l’assistance ne savait que plusieurs avions avaient été détournés (47-48).
26. L’omission du rapport selon lequel le Ministre de la Justice John Ashcroft fut averti d’arrêter de prendre des lignes aériennes commerciales avant le 11 Septembre (50).
27. L’omission de l’affirmation de David Schippers qu’il avait, sur la base d’informations fournies par des agents du FBI à propos d’attaques prévues dans le Sud de Manhattan, tenté en vain de transmettre cette information au Ministre de la Justice John Ashcroft pendant les 6 semaines précédant le 11 Septembre (51).
28. L’omission de toute mention que des agents du FBI auraient affirmé avoir eu connaissance des cibles et des dates des attaques [terroristes] longtemps à l’avance (51-52).
29. L’affirmation, par une réfutation circulaire qui présume la question résolue, que le volume inhabituel des achats d’options à la baisse avant le 11 Septembre n’impliquait pas que les acheteurs savaient à l’avance que les attaques se produiraient. (52-57)
30. L’omission des rapports selon lesquels le maire [de San Francisco] Willie Brown et certains responsables du Pentagone reçurent des mises en garde sur le fait de prendre l’avion le 11 Septembre (57).
31. L’omission du rapport selon lequel Oussama ben Laden, qui était déjà le criminel le plus recherché des États-Unis, fut traité en juillet 2001 par un docteur américain à l’hôpital américain de Dubai et y reçu la visite de l’agent local de la CIA (59).
32. L’omission des articles suggérant qu’après le 11 Septembre, l’armée américaine laissa délibérément Oussama ben Laden s’échapper (60).
33. L’omission de rapports, incluant celui sur la visite par le chef des services de renseignements saoudiens à Oussama ben Laden à l’hôpital de Dubai, qui sont en contradiction avec la version officielle selon laquelle Oussama fut renié par sa famille et son pays (60-61).
34. L’omission du compte-rendu de Gerald Posner sur le témoignage de Abu Zubaydah, selon lequel trois membres de la famille royale saoudienne (qui périrent tous mystérieusement à huit jours d’intervalle) finançaient al-Qaida et avaient une connaissance anticipée des attaques du 11 Septembre (61-65).
35. Le démenti par la Commission d’avoir trouvé une preuve du financement d’al-Qaida par les Saoudiens (65-68).
36. Le démenti par la Commission d’avoir trouvé une preuve que de l’argent de la femme du Prince Bandar, la Princesse Haifa, alla à des agents d’al-Qaida (69-70).
37. Le démenti, en ignorant tout simplement la distinction entre vols privés et vols commerciaux, que le vol privé transportant des Saoudiens de Tampa à Lexington le 13 Septembre violait les règlements de l’espace aérien en vigueur à cette date (71-76).
38. Le démenti que des Saoudiens furent autorisés à quitter le territoire des États-Unis peu de temps après le 11 Septembre sans avoir été l’objet d’une enquête appropriée (76-82).
39. L’omission de la preuve que le Prince Bandar obtint une autorisation spéciale de la Maison-Blanche pour les vols des Saoudiens (82-86).
40. L’omission de l’affirmation de Coleen Rowley que des responsables au Q.-G. du FBI avait vu le mémo de Phoenix de l’agent Kenneth Williams (89-90).
41. L’omission du fait que l’agent du FBI à Chicago Robert Wright affirme que le Q.-G. du FBI referma son enquête sur une cellule terroriste, puis tenta de l’intimider pour l’empêcher de publier un livre relatant expériences (91).
42. L’omission de la preuve que le Q.-G. du FBI sabota la tentative de Coleen Rowley et d’autres agents [du FBI] de Minneapolis pour obtenir un mandat pour rechercher l’ordinateur de Zacarias Moussaoui (91-94).
43. L’omission des trois heures trente de déposition devant la Commission par Sibel Edmonds, ancienne traductrice au FBI, déposition qui selon une lettre rendue publique par elle et adressée au Président [de la Commission] Kean, révélait de sérieuses dissimulations de la part de responsables du FBI, en relation avec le 11 Septembre, et ce au Quartier Général même du FBI (94-101).
44. L’omission du fait que le Général Mahmoud Ahmad, le Chef de l’ISI [les Services de Renseignement Pakistanais], se trouvait à Washington une semaine avant le 11 Septembre, et rencontra le Directeur de la CIA George Tenet ainsi que d’autres haut-responsables étasuniens (103-04).
45. L’omission de la preuve que Ahmad, le Chef de l’ISI [les Services de Renseignement Pakistanais] avait ordonné l’envoi de $100,000 à Mohamed Atta avant le 11 Septembre (104- 07).
46. L’affirmation de la Commission qu’elle ne trouva aucune preuve qu’un seul gouvernement étranger, y compris le Pakistan, avait financé des agents d’al-Qaida (106).
47. L’omission du rapport selon lequel l’Administration Bush fit pression sur le Pakistan pour limoger Ahmad de son poste de Chef de l’ISI après la divulgation de l’information selon laquelle il avait ordonné l’envoi d’argent de l’ISI à Mohamed Atta (107-09).
48. L’omission de la preuve que l’ISI (et pas seulement al-Qaida) était derrière l’assassinat de Ahmad Shah Massoud (le commandant de l’Alliance du Nord en Afghanistan), qui se produisit juste après une rencontre qui dura une semaine entre des responsables de la CIA et de l’ISI (110-112).
49. L’omission de la preuve que l’ISI est impliqué dans l’enlèvement et le meurtre de Daniel Pearl, journaliste au Wall Street Journal (113).
50. L’omission du rapport de Gerald Posner selon lequel Abu Zubaydah affirma qu’un officier militaire pakistanais, Mushaf Ali Mir, ayant des liens étroits avec l’ISI et al-Qaida avait une connaissance anticipée des attaques du 11 Septembre (114).
51. L’omission de la prédiction faite en 1999 par Rajaa Gulum Abbas, un agent de l’ISI, que les Tours Jumelles « s’effondreraient » (114).
52. L’omission du fait que le Président Bush et d’autres membres de son Administration évoquèrent à plusieurs reprises les attaques du 11 Septembre comme des « opportunités » (116-17).
53. L’omission du fait que le Projet pour le Nouveau Siècle Américain (« The Project for the New American Century »), dont de nombreux membres devinrent des figures clés de l’Administration Bush, publia un document en 2000 disant qu’un « nouveau Pearl Harbour » aiderait à l’obtention de fonds pour une transformation technologique rapide de l’appareil militaire américain (117-18).
54. L’omission du fait que Donald Rumsfeld, qui était le président de la commission de l’US Space Command et avait recommandé l’accroissement du budget alloué, utilisa les attaques du 11 Septembre le soir même pour s’assurer de tels crédits (119-22).
55. Le fait de ne pas mentionner que les trois hommes responsables de l’échec à prévenir les attaques du 11 Septembre (le Ministre Rumsfeld, le Général Richard Myers, et le Général Ralph Eberhart) étaient également les trois principaux promoteurs de l’US Space Command (122).
56. L’omission du fait que Unocal avait déclaré que les Talibans ne pouvaient pas garantir une sécurité adéquate pour commencer la construction de ses pipelines (de pétrole et de gaz) depuis le bassin Caspien au travers de l’Afghanistan et du Pakistan (122-25).
57. L’omission du rapport selon lequel des représentants des États-Unis dirent à l’occasion d’une rencontre en juillet 2001 que, parce que les Talibans refusaient leur proposition de développer la construction d’un oléoduc, une guerre contre eux commenceraient en octobre (125-26).
58. L’omission du fait que dans son livre publié en 1997 Zbigniew Brzezinski avait écrit que pour que les États-Unis maintiennent leur primauté globale, ils avaient besoin du contrôle de l’Asie Centrale, avec ses vastes réserves de pétrole, et qu’un nouveau Pearl Harbour serait utile pour obtenir l’adhésion de l’opinion publique américaine à ces visées impériales (127-28).
59. L’omission du fait que des membres clés de l’Administration Bush, dont Donald Rumsfeld et son délégué Paul Wolfowitz, s’étaient démenés en faveur d’une nouvelle guerre contre l’Irak pendant de nombreuses années (129-33).
60. L’omission des notes des conversations de Donald Rumsfeld le 11 Septembre qui montrent qu’il était déterminé à utiliser les attaques comme un prétexte pour une guerre contre l’Irak (131-32).
61. L’omission de la déclaration contenue dans le Projet pour un Nouveau Siècle Américain que « le besoin pour une présence américaine forte dans le Golfe dépasse le sujet du régime de Saddam Hussein » (133-34).
62. L’affirmation que le protocole de la FAA (Federal Aviation Agency) au sujet du 11 Septembre requérait le long processus de passer par plusieurs étapes dans la chaîne de commandement, même si le Rapport Officiel [de la Commission] cite des preuves du contraire (158).
63. L’affirmation que ces jours-là, seules deux bases de l’US Air Force dans le secteur Nord- Est du NORAD (North American Aerospace Defense Command pour Centre de Commandement de la Défense de l’Aérospatial de l’Amérique du Nord) conservaient des chasseurs en alerte et qu’en particulier il n’y avait pas d’avions de combat en alerte à McGuire ou à Andrews (159-162).
64. L’omission du fait que la base Andrews de l’US Air Force convervait plusieurs avions de chasse en alerte de façon permanente (162-64).
65. L’acceptation de la double affirmation que le Colonel Marr du NEADS (North East Air Defense Sector) devait téléphoner à un supérieur pour obtenir la permission d’envoyer des chasseurs depuis [la base] d’Otis et que cet appel nécessita huit minutes (165-66).
66. L’approbation de l’affirmation que la perte du signal du transpondeur d’un avion rend virtuellement impossible sa localisation par for par les radars de l’armée américaine (166- 67).
67. L’affirmation que l’interception de Stewart Payne n’a pas montré que le temps de réponse du NORAD au vol AA11 fut extraordinairement lent (167-69).
68. L’affirmation que les chasseurs de la base d’Otis restèrent cloués au sol sept minutes après qu’ils en eurent reçu l’ordre parce qu’ils ne savaient pas où aller (174-75).
69. L’affirmation que l’armée américaine n’était pas informée du détournement du vol UA175 avant 9h03, moment exact où il percutait la tour Sud du WTC (181-82).
70. L’omission de toute explication sur (a) la raison pour laquelle un rapport antérieur du NORAD, selon lequel la FAA avait notifiée les militaires du détournement du vol UA175 à 8h43, était maintenant considéré comme faux et (b) comment ce rapport, s’il était faux, a pu être publié et ensuite laissé non corrigé pendant près de trois ans (182).
71. L’affirmation que la FAA n’a installé de téléconférence qu’à partir de 9h20 ce matin-là (183).
72. L’omission du fait qu’un mémo de Laura Brown de la FAA affirme que la téléconférence fut établie à environ 8h50 et qu’elle porta notamment sur le détournement du vol UA175 (183-84, 186).
73. L’affirmation que la téléconférence de la NMCC, (le Centre National de Commandement Militaire ou National Military Command Center) ne débuta pas avant 9h29 (186-88).
74. L’omission, dans l’affirmation de la Commission que le vol AA77 n’a pas dévié de sa course avant 8h54, du fait que des rapports précédents avaient annoncé 8h46 (189-90). 75. L’échec à mentionner que l’annonce du crash d’un jet dans le Kentucky, à peu près au moment où le vol AA77 disparaissait du radar de la FAA, fut prise suffisamment au sérieux par les responsables de la FAA et de l’unité du contre-terrorisme du FBI pour être relayée à la Maison-Blanche (190).
76. L’affirmation que le vol AA77 vola près de 40 minutes dans l’espace aérien américain en direction de Washington sans être détecté par les radars des militaires (191-92).
77. L’échec à expliquer, si le précédent rapport du NORAD selon lequel il fut notifié du vol AA77 à 9h24 était « incorrect », comment ce rapport erroné a pu voir le jour, c’est-à-dire, de savoir si les responsables du NORAD ont menti ou furent « embrouillés » pendant près de trois ans (192-93).
78. L’affirmation que les avions de combats de Langley, dont le NORAD avait tout d’abord dit qu’ils furent dépêchés pour intercepter le vol AA77, furent réellement déployés en réponse à un rapport erroné de la part d’un contrôleur (non-identifié) de la FAA à 9h21 que le vol AA11 était toujours en l’air et se dirigeait vers Washington (193-99).
79. L’affirmation que les militaires ne furent pas contactés par la FAA à propos du probable détournement du vol AA77 avant que le Pentagone soit touché (204-12).
80. L’affirmation que Jane Garvey ne s’est pas jointe à la vidéoconférence de Richard Clarke avant 9h40, c’est-à-dire après que le Pentagone soit percuté (210).
81. L’affirmation qu’aucune des téléconférences ne parvint à coordonner la FAA et les réponses des militaires aux détournements parce « qu’aucune [d’elles] incluait les bons responsables au sein de la FAA et du Ministère de la Défense », bien que Richard Clarke dise que sa vidéoconférence incluait la Directrice de la FAA Jane Garvey comme le Ministre de la Défense Rumsfeld et le Général Richard Myers, le Chef des Forces Armées par intérim (211).
82. L’affirmation de la Commission qu’elle ne savait pas qui, au sein du Ministère de la Défense, participa à la vidéoconférence avec Richard Clarke alors que Clarke affirme dans son livre qu’il s’agissait de Donald Rumsfeld et du Général Myers (211-212). 83. L’approbation de l’affirmation du Général Myers qu’il se trouvait sur Capitol Hill pendant les attaques, sans mentionner le compte-rendu contradictoire de Richard Clarke, selon lequel Myers était au Pentagone et participait à la vidéoconférence avec Clarke (213-17).
84. L’échec à mentionner la contradiction entre le témoignage de Clarke au sujet de l’emploi du temps de Rumsfeld ce matin-là et les propres déclarations de Rumsfeld (217-19).
85. L’omission du témoignage du Ministre des Transports Norman Mineta, donné à la Commission elle-même, que le Vice-Président Cheney et les autres [personnes présentes] dans l’abri souterrain étaient avertis à 9h26 qu’un avion s’approchait du Pentagone (220).
86. L’affirmation que les responsables du Pentagone ne savaient rien d’un avion s’approchant d’eux avant 9h32, 9h34, ou 9h36, et dans tous les cas seulement quelques minutes avant que le bâtiment soit touché (223).
87. L’acceptation de deux versions contradictoires au sujet de l’appareil qui percuta le Pentagone : une qui relate l’exécution d’une spirale à 330 degrés vers le bas (un « piqué à grande vitesse ») et une autre dans laquelle il n’est pas fait mention de cette manoeuvre (222-23).
88. L’affirmation que les avions de chasse de Langley, qui reçurent soit-disant l’ordre de décoller rapidement pour protéger Washington contre le « vol fantôme AA11 » n’étaient nulle part près de Washington parce qu’ils furent envoyés vers l’océan par erreur (223-24).
89. L’omission de toutes les preuves suggérant que ce qui frappa le Pentagone n’était pas le vol AA77 (224-25).
90. L’affirmation que les militaires ne furent pas informés par la FAA du détournement du vol UA93 avant qu’il ne s’écrase (227-29, 232, 253).
91. La double affirmation que le NMCC n’a pas contrôlé la conférence initiée par la FAA et donc fut incapable de connecter la FAA à la téléconférence initiée par le NMCC (230-31).
92. L’omission du fait que les Services Secrets sont capables de savoir tout ce que sait la FAA (233).
93. L’omission de toute enquête sur les raisons pour lesquelles le NMCC lança sa propre téléconférence, si, comme Laura Brown de la FAA l’a dit, cela n’est pas le protocole standard (234).
94. L’omission de toute enquête sur les raisons pour lesquelles le Général Montague Winfield fut non seulement remplacé par un « bleu » (a rookie), le Capitaine Leidig, en tant que Directeur des Opérations du NMCC mais encore l’a laissé au commandement quand il fut clair que le Pentagone était confronté à une crise sans précédent (235-36).
95. L’affirmation que la FAA notifia (de façon erronée) les Services Secrets entre 10h10 et 10h15 que le vol UA93 était encore dans le ciel et se dirigeait vers Washington (237).
96. L’affirmation que le Vice-Président Cheney ne donna l’autorisation de tir qu’après 10h10 (plusieurs minutes après que le vol UA93 se fut écrasé) et que cette autorisation ne fut pas transmise à l’armée US avant 10h31 (237-41).
97. L’omission de toutes les preuves indiquant que le vol UA93 fut abattu par un avion militaire (238-39, 252-53).
98. L’affirmation que [le Tsar du Contre-Terrorisme] Richard Clarke ne reçut la demande d’autorisation de tir qu’à 10h25 (240).
99. L’omission du propre témoignage de Clarke, qui suggère qu’il reçut cette demande d’autorisation de tir vers 9h50 (240).
100. L’affirmation que Cheney ne gagna l’abri souterrain du PEOC [ou CPOU pour Centre Présidentiel d’Opérations d’Urgence]) qu’à 9h58 (241-44).
101. L’omission de multiples témoignages, dont celui de Norman Mineta [le Ministre des Transports] à la Commission elle-même, que [le Vice-Président] Cheney se trouvait dans le CPOU avant 9h20 (241-44).
102. L’affirmation que l’autorisation d’abattre un avion civil devait être donnée par le Président (245).
103. L’omission de rapports que le Colonel Marr donna l’ordre d’abattre le vol UA93 et que le Général Winfield indiqua que lui et d’autres [officiers] au NMCC s’attendaient à ce qu’un chasseur atteigne le vol UA93 (252).
104. L’omission de rapports indiquant qu’il y avait deux avions de chasse dans le ciel à quelques kilomètres de New York et trois à seulement 320 kilomètres de Washington (251).
105. L’omission du fait qu’il existait au moins six bases militaires avec des chasseurs en état d’alerte dans la région Nord-Est des États-Unis (257-58).
106. L’approbation de l’affirmation du Général Myers que le NORAD avait défini sa mission en termes de défense seulement contre des menaces dirigées [vers les Etats-Unis] depuis l’étranger (258-62).
107. L’approbation de l’affirmation du Général Myers que le NORAD n’avait pas envisagé la possibilité que des terroristes pourraient utiliser des avions de ligne détournés comme des missiles (262-63).
108. L’échec de mettre en perspective la signification du fait, présenté dans le Rapport lui-même, ou de mentionner d’autres faits prouvant que le NORAD avait effectivement envisagé la menace posée par des avions de ligne détournés d’être utilisés comme des missiles (264- 67).
109. L’échec de sonder les implications de la question de savoir comment les manoeuvres militaires (« war games ») programmées ce jour-là purent influer sur l’échec des militaires à intercepter les avions de ligne détournés (268-69).
110. L’échec de discuter la pertinence possible de l’Opération Northwoods avec les attaques du 11 Septembre (269-71).
111. L’affirmation (présentée pour expliquer pourquoi les militaires n’obtinrent pas l’information au sujet des avions détournés à temps pour les intercepter) que le personnel de la FAA inexplicablement faillit à suivre les procédures standards quelques 16 fois (155-56, 157, 179, 180, 181, 190, 191, 193, 194, 200, 202-03, 227, 237, 272-75).
112. L’échec de mentionner que l’indépendance proclamée de la Commission fut fatalement compromise par le fait que Philip Zelikow, son directeur exécutif, était virtuellement un membre de l’Administration Bush (7-9, 11-12, 282-84). (ndt : un proche collaborateur de Mme. Condoleeza Rice)
113. L’échec de mentionner que la Maison-Blanche chercha d’abord à empêcher la création de la Commission [Officielle d’Enquête sur les Attaques Terroristes du 11 Septembre], puis plaça de nombreux obstacles sur sa route, comme le fait de lui accorder un budget extrêmement restreint (283-85). (ndt : estimé à environ 15 millions de dollars, quand le film de fiction « Vol 93 » de Paul Greengrass en a coûté 18, et « World Trade Centre » d’Oliver Stone 4 FOIS PLUS soit 60 millions de dollars ; concernant le premier point, il a fallu attendre 441 jours pour que cette Commission soit créée et M. Bush proposa que M. Kissinger en soit le président…avant de se rétracter sous les critiques virulentes de l’opinion publique.)
114. L’échec de mentionner que le Président de la Commission, la plupart des autres Commissionnaires, et qu’au moins la moitié du personnel avait de sérieux conflits d’intérêt (285-90, 292-95).
115. L’échec de la Commission, qui se vantait que la présentation de son rapport final s’était faite « sans dissension », de mentionner que cela n’avait été possible que parce que Max Cleland, le Commissionnaire le plus critique à l’encontre de la Maison-Blanche qui jura « qu’il ne serait pas complice d’un traitement partial des informations » dut démissionner pour accepter un poste à la Banque Export-Import, et que la Maison-Blanche transmit sa nomination seulement après qu’il soit devenu très direct dans ses critiques (290-291).
Cette longue liste est extraite du document suivant : http://www.voltairenet.org/article143694.html
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Les tartuffes sont toujours là !

Dans le cadre du cirque médiatique, on est frappé par le fait que ce sont toujours les mêmes qui s’expriment : les mêmes commentateurs politiques depuis 20/30 ans, les mêmes « experts » économiques et ainsi de suite…

Un article récent du « Monde Diplomatique » dénonce ce verrouillage avec raison… Lire l’extrait à « Elie Cohen, Nicolas Baverez, Jacques Attali : Les disqualifiés« .

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Livre sur la vie de bureau : « L’open space m’a tuer »

Voici un nouvel ouvrage révélateur de ce qu’est devenu la vie professionnelle dans certains contexte : « L’open space m’a tuer » à découvrir ici.

Le point de vue des auteurs pour situer le ton :

Les dirigeants peuvent bien pester contre cette génération qui a perdu la valeur travail et ne pensent qu’à leur vie privée, ils oublient juste une chose : cette attitude n’est pas une cause, mais une conséquence. Entre les jeunes cadres et l’entreprise le lien de confiance est cassé. C’est le règne du chacun pour soi…

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Spécial copinage : l’annonce du site macosmetoperso.com

La sorcière du référencement (une amie de longue date) vient d’ouvrir un site marchand original… Voici son annonce :

Nous venons d’ouvrir au public le site www.macosmetoperso.com qui commercialise ingrédients et contenants pour la fabrication de produits de beauté, de soin et de maquillage.

Bon, je ne suis pas exactement le bon public pour ce type d’offre mais si ça peut servir à certain(e)s…


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Encore sur le 9/11 : le documentaire « zéro » en entier !

Sur Dailymotion, grâce à « chamizam », on peut enfin voir en entier le fameux documentaire italien « zéro »…

La playlist (le doc est découpé en 10 parties) est accessible à http://www.dailymotion.com/playlist/xoar1_lalelulelo_zero-enquete-sur-le-11-septembre-an

C’est tout en anglais mais c’est bien fait : c’est un résumé assez complet de tous les points qui permettent de dire que la version officielle est une vaste plaisanterie…

Vous pouvez trouvez quelques extraits sous-titrés en français ici et un article présentant ce documentaire là. Bref, vraiment de quoi se faire une opinion si ce n’est déjà fait.

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Annonce : un nouveau blog pour Murielle

Suite à la naissance de notre 4ème fils (Justin, né le 4 juillet dernier), Murielle vient d’ouvrir un nouveau blog (basé sur WordPress) dédié à l’éducation Montessori de ce dernier.

Ce « Blog bébé Montessori » va remplacer le « Blog Homeshooling » qu’elle tenait depuis quelques années et qui suivait les aventures de Damien pendant son « Instruction En Famille »… Damien vient de rentrer en 6ème au collège pour intégrer une classe bilingue, ce blog n’a plus de raison d’être.

Mais cette expérience et la matière accumulée dans le « Blog Homeshooling » n’est pas perdue puisque nous sommes en train d’en faire un livre qui devrait être disponible début 2009 => 365 jours d’école à la maison

Ce livre va être une occasion supplémentaire d’améliorer notre pratique de l’auto-édition car, bien entendu, aucun éditeur français n’est intéressé à publier le premier livre en français sur le thème de l’école à la maison !

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Une vidéo sur la course de Dimanche soir (Rfactor, GP79, Monza)

C’est de la cadre du championnat Master Series organisé par Guillaume Siebert (merci à lui !). Voici juste les cinq premiers tours (il y en avait cinquante à boucler !) :

Pour vous permettre de mieux comprendre ce qui se passe, voici le récit de ma course et un résumé de la course de trois adversaires…

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Quelle course !
J’avais passé la semaine à préparer ce rendez-vous avec Marc Florkin et je connaissais bien cette piste.
Tout de même, je fus un peu supris de faire le 4ème temps aux qualifs… J’attendais que Stéphane (Fauries), Jonny et les autres me passent devant comme d’habitude mais là, rien. Les temps des essais étaient serrés mais je restais bien 4ème derrière Tiago et sa FW07 et les deux obus (les Arrows).

Mon départ fut très mauvais : pour éviter de toucher Guillaume au freinage de la première chicane, je me suis décalé à gauche et j’ai mis une roue dans l’herbe… Mauvaise pioche : je me suis retrouvé entrainé sur le dégagement et j’ai loupé l’entrée de la chicane !
Super comme début mais la suite n’est pas mal non plus… Je remonte le mors aux dents et là je me rend compte que je reviens facilement sur le peloton. Je double les derniers sans attendre et je me retrouve assez vite derrière Stéphane. Je reste derrière lui un peu et je pense pouvoir tenter ma chance dans la descente avant la variante Ascari. Mais j’ai été trop optimiste dans mon évaluation du freinage et non seulement je passe Stéphane mais aussi Eric Campillo sur l’élan !
Bien évidemment, ça ne passe pas et je me retrouve en vrac au beau milieu de la chicane, gênant Stéphane par la même occasion (bravo !).

Je repars sans avoir rien touché et sans avoir perdu trop de temps. Et c’est là que je réalise que ma voiture est carrément extraordinaire ce soir… Je pense que la JS11 version Monza (sans aileron à l’avant) est vraiment rapide : pas sous-vireuse malgrè l’absence de flaps à l’avant et pas non plus trop sur-vireuse bien que j’ai eu peu d’appuis au niveau de l’aileron arrière. Ma voiture vole littérallement et je compte bien en profiter.
Mais, justement, voilà quel a été mon problème hier soir : sentant que j’avais en main une voiture vraiment supérieure (question de type ou de réglages, aurais-je touché sans le faire exprès un « sweet spot » ?), j’ai voulu absolument être à la hauteur de son potentiel et, du coup, j’ai été bien trop fébrile. D’où mon départ raté et mes spins à répétition. Manque d’expérience d’être rapide… Ben oui, tout s’apprend.

Donc, bis repetita placent, je remonte de nouveau sur le peloton après être retombé à la 10/11ème place. Mais il semble bien que le peloton soit bien agité ce soir (même sans moi pour y mettre le boxon) et je me retrouve 6ème assez vite. On est 4 groupés dans la ligne droite du départ et l’aspiration y est formidable. Je passe 4ème derrière le groupe de tête qui est déjà à plus de 16 secondes.
Je veux me détacher de JP Campmajo mais je veux en faire trop et trop vite et je me loupe au freinage de la seconde chicane. Je repars en 8ème place et tout est à refaire, une fois de plus !
Mais ma voiture est vraiment supérieure ce soir et, au bout de quelques tours, je suis de nouveau dans le sillage de JP (il était plus facile à doubler quand il avait une Ensign…) puis devant lui. Là, il faut encore m’éloigner de lui et je ne peux le faire qu’à coup de quelques dixièmes à chaque tour. Il faudra un bon moment pour qu’il accepte de lâcher le morceau le bougre !

Bon, à ce stade, je me retrouve 4ème à plus de 30 secondes de Guillaume et j’ai bien le sentiment d’avoir gâché ma course car ma voiture m’aurait permis d’être et de rester avec ce groupe de tête. Mais la course est encore longue (il reste encore à ce moment-là plus de 30 tours à faire) et tout reste possible à condition d’y croire.
Normallement, la sagesse devait m’ordonner de me contenter de cette position et de finir la course en contrôlant mon écart avec JP. Mais, vous l’aviez compris, la sagesse n’était pas avec moi dans mon baquet hier soir…
Donc, j’entrepend de remonter sur Guillaume, rien que pour voir si c’est possible. Pour reprendre plus ou moins une seconde au tour à Guillaume, ça me demande une attaque de tous les instants mais, au moins, ainsi je n’ai pas le temps de m’ennuyer !
Ma voiture me permet de revenir sur Guillaume tour après tour et ce dernier est solide : il ne lâche l’écart que morceau par morceau tout en gardant le même rythme. Mais, petit à petit, je m’aperçois que j’arrive tout de même à revenir et, inexorablement, je vais arriver à faire la jonction avant la fin de la course. Restera à le passer mais je dois avouer que cette situation m’excite beaucoup : affronter Guillaume est une situation que je n’ai pas pu faire depuis le début de ce championnat. Or, c’est justement la possibilité de mieux connaitre chacun à travers un vrai baston qui fait le charme de ce championnat.

Voilà, l’Arrows est désormais visible (Martin Audran a disparu entre-temps et je suis maintenant 3ème) et c’est la seconde place qui va se jouer entre nous. J’arrive à passer Guillaume juste avant la parabolique mais il faut encore le lâcher pour rester devant lui jusqu’à l’arrivée mais ça, je n’y suis pas arrivé.
C’est que, une fois Guillaume passé, Il a pu profiter de mon aspi. Il est resté prudent et très clean mais il m’a aussi mis une pression d’enfer !
Du coup, j’ai fait la petite erreur de trop que j’avais réussi à éviter pendant les 30 tours précédents : une rétrogradage un poil trop tardif au moment d’entrer dans Lesmo un. Je pars en spin et tape le rail, boum !
Je peux repartir en lambeaux et c’est en me trainant que je boucle les derniers tours en arrivant de justesse à rester devant JP Campmajo.

Voilà pour cette course palpitante (de mon point de vue). Guillaume est « prenable » dans certains cas (mais il me faut encore un peu de bouteille pour rester cool quand je suis aux avant-postes). Tiago était au-dessus du lot avec sa FW07 mais avec la même voiture, Darryn (d’habitude plutôt rapide) a été plutôt discret. J’ai aussi été surpris de ne pas voir Jonny et si Othmane avait été là, le duel avec Tiago aurait pu être intéressant à voir…

A Montréal, Jonny devrait être de retour car je sais qu’il apprécie ce tracé (je l’y ai vu gagner haut la main sur ce circuit dans un autre championnat il y a un an), moi pas.

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La course de Monza a été très animée lors de ces dix premiers tours (comme souvent lors de ce championnat). Alors que les trois premiers s’échappaient en tête, le peloton était pris de folie et la bagarre était à tous les étages.
Je vous propose d’illustrer cela par le récit de la course de 3 concurrents qu’on entend pas souvent : Stéphane Fauries, Darryn Smalley et Eric Campillo.

Commençons par Stéphane qui a été bien malchanceux (comme souvent) après s’être fait bousculer par plusieurs concurrents alors que lui-même restait prudent…

# Stéphane Fauries (abandon au 5ème tour)
Départ mouvementé pour Stéphane à cause des 2 Tyrrell. Stéphane (TAZ pour les intimes) est derrière JP Campmajo mais ce dernier se loupe à la seconde chicane… Taz évite Jonny en vrac au milieu de cette seconde chicane et passe JP par la même occasion.
JP veut répliquer à l’entrée d’Ascari mais part en spin et entraine Taz… Stéphane repart en ayant perdu 3 places.
Taz repasse devant JP avant la parabolique et boucle ce premier tour 6ème derrière Eric Campillo.
T2 : Lefebvre veut passer son équipier avant Ascari mais se loupe (comme JP le tour d’avant au même endroit !) et gêne Taz qui évite le pire.
T3 : JP repasse devant Taz au freinage de la première chicane mais se loupe à nouveau à la seconde. Fauries attaque Campillo à l’entrée du Lesmo II et ça passe à Ascari, 5ème.
T5 : Stéphane remonte Jonny alors 4ème. Jonny se loupe à la sortie d’Ascari et se retrouve derrière Fauries à l’entrée de la parabolique… Il attaque tout de même au freinage à l’intérieur… C’est trop juste, il élargit et s’appui sur la Ligier !
Les deux voitures partent dans le dégagement mais Taz arrive à remettre sa Ligier à la sortie de la parabolique sans avoir perdu de place.
Mais la meute arrive à pleine vitesse sur lui avec Darryn, Campillo, Campmajo et Lefebvre très groupés. Dans la ligne droite, l’aspi joue à fond et Taz perd 3 places !
A la sortie de la première chicane, Stéphane perd sa Ligier et tape le rail, une roue en moins… C’est terminé pour lui mais, si on compte, ils sont trois à l’avoir poussé pendant ces premier tours : Campmajo, Lefebvre et Jonny… Comment s’étonner que notre Taz pense avoir la poisse quand on s’acharne ainsi sur lui ?

Continuons par Darryn, très rapide sur certains tracé mais qui a été plutôt discret à Monza… Le récit ci-dessous permet de comprendre pourquoi.

# Darryn Smalley (abandon au 39ème tour)
Pris en sandwitch entre Campmajo et Jonny, Darryn tire tout droit à la première chicane et en ressort 7ème derrière Fauries.
Profitant de la confusion à la seconde chicane (où Jonny est en vrac), Olivier Philipps le passe et l’entraine à l’extérieur du Lesmo 1… Darryn spin mais repart 12ème sans avoir touché.
A la fin du 2ème tour, il est revenu dans les roues de Franck Labédan qu’il passe à l’entrée de la chicane II. Il veut passer François Besançon à l’entrée d’Ascari mais François résiste et cède finalement à la parabolique (sa course s’arrête aussi ici hélas). Darryn est alors revenu 8ème.
T3 : à la sortie d’Ascari, Darryn se retrouve derrière les deux « Camp » qui se bagarre durement. Darryn passe JP à la chicane 1, tire tout droit à la chicane 2, passe Eric se faisant mais le laisse repasser devant lui aussitôt en ralentissant fortement avant Lesmo 1 (bravo pour le fair play !).
Darryn repasse Eric à l’entrée de la parabolique et tombe sur Fauries qui sort des graviers à la sortie. Profiant de l’aspiration, Darryn est 4ème au bout de la ligne droite… Pas longtemps car Lefebvre le passe au freinage de la chicane 1.
T8 : Alef se loupe à la chicane 2 et Darryn repasse 4ème, loin devant les duettistes camp & camp.
T9 : Darryn rate son freinage à la chicane 1, tape dans le rail, repart et s’arrête aux stands pour changer son aileron avant.
T16 : Darryn se retrouve derrière Marc Florkin pour lui prendre un tour mais céde en même temps à JP Campmajo et va frôler le rail dans la curva grande !
Ensuite, Darryn tourne régulièrement avec sa Williams blessée et, alors que l’arrivée est en vue, tape de nouveau le rail à la chicane 1 au 39ème tour… out !

Finissons par Eric Campillo qui a fait une course superbe, évitant les grosses erreurs jusqu’au bout et justement récompensé par une 5ème place bien méritée !

# Eric Campillo (5ème)
Après le départ, Eric se retrouve juste devant Jonny à la chicane 2 (après que ce dernier soit partit en spin tout seul) et gagne 2 places de plus après que Darryn et Olivier soient partis danser ensemble à Lesmo !
Jonny repasse devant dès Ascari mais Eric profite aussi de l’accrochage entre JP et Taz.
T2 : quand Alef lance son attaque suicide sur Taz et Eric, seul Stéphane est affecté et Eric continue sa route.
T3 : Fauries passe Eric à Ascari et JP tente de faire de même à la parabolique.
T4 : JP se fait pressant derrière Eric… Il passe à Ascari, Eric est 7ème à ce stade de la course.
Eric repasse JP à la parabolique et Darryn s’est joint au groupe.
T5 : Darryn passe devant au freinage de la parabolique et Alef passe à l’aspi de la ligne droite. Eric est 6ème.
T6 & 7 : JP attaque de nouveaux à la parabolique mais Eric résiste puis il passe enfin à la chicane 1 mais comme il se loupe à la sortie, Eric repasse devant la Lotus.
T8 & 9 : JP attaque encore mais Eric résiste bien.
T10 : JP passe finalement à la chicane 1 et Alef avant la parabolique.
T14 : Olivier a rejoint Eric et le passe à Ascari alors qu’Eric sort large.
T15 : Eric repasse Olivier à l’aspi (Olivier était un poil plus vite au tour qu’Eric mais sa Tyrrell manquait de vitesse de pointe par rapport à la Ferrari ci-fait qu’il ne put jamais passer à l’aspiration malgrè plusieurs tentatives…).
T17 : Olivier attaque et passe (limite) à Ascari. Eric tente de repasser au freinage de la chicane 1 mais Olivier résiste.
T19 : Olivier s’est un peu détaché, Eric roule isolé.
T20 : Eric prend un tour à Darryn.
T25 : Eric repasse devant Olivier en vrac dans la chicane 1…
T32 : Olivier a rejoint Eric et l’attaque sans relache pendant les tours qui suivent… mais au 37ème tour, Eric a réussi à reprendre un peu d’avance.
T40 : Olivier part en spin à Ascari, Eric a de la marge.
T47 : Olivier est presque revenu dans la sillage d’Eric mais ce dernier gère bien la fin de course et fini devant la Tyrrel…

Voilà une course bien maitrisée de bout en bout avec pratiquement pas une erreur… Faut le faire !

Pour rédiger ces récits, j’ai passé pas mal de temps à visionner le replay dans tous les sens et je voudrais vous dire ici que cette course était vraiment superbe !
Par moment, on s’y croirait… Les ralentits dans les chicanes sont saisissant (Eric presque systématiquement en glisse au milieu de la première chicane… bravo !) et la mise en grille après le tour de formation est également un gros plus au niveau du « réalisme » de ce spectacle. J’ai essayé de regarder tout cela d’un oeil neuf et je dois vous dire que j’ai trouvé ça somptueux !
Il faut être conscient que nous avons là quelque chose d’unique et il faut que nous fassions quelques efforts afin de le préserver et de le faire grandir encore.

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Critique de mon dernier livre sur « Les Echos » : super sévère !

C’est ce qui s’appelle « se faire tailler » en langage djeun !

Les Echos d’aujourd’hui publie une critique de mon livre « Les réseaux sociaux » paru dernièrement en seconde édition… Je devrais être content mais le contenu de la critique est vraiment cinglant !

Lisez plutôt :

A lire cette critique, on a presque l’impression que son auteur s’en prend plus à moi qu’à mon livre… Aurais-je donc une importance que mon égo ne soupçonnait pas ?

Pourtant, les échos (sans jeu de mot !) que j’ai reçu de la part des premiers lecteurs de ce livre sont plutôt largement favorable. Et le ton de cet ouvrage est plutôt modéré par rapport à ce que j’ai pu écrire dans le passé. Bref, je ne vais pas en faire une maladie mais je suis tout de même un peu surpris.

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Une compilation de pages « anti-Java »…

Avertissement : c’est une chronique spécial geeks là !
Avertissement complémentaire : si vous êtes un fana de Java, passez votre chemin car, sinon, vous allez avoir mal… Dans la série « tuons les idées reçues », aujourd’hui, occupons-nous du « cas Java » !

Je n’en fait pas mystère : je déteste Java !

C’est pour moi la plus grosse escroquerie intellectuelle de ces 15 dernières années. Donc, j’ai eu l’idée de réunir ici une petite liste de liens pointant vers des pages expliquant pourquoi Java est -toujours encore aujourd’hui- une grosse daube… Enjoy!

Si vous connaissez d’autres articles (du même genre of course), n’hésitez pas à les signaler…


Tout vient à point à qui sait attendre… Andreessen l’admet : PHP mieux que Java !

Tout d’abord, il faut lire cet article publié sur CNET ou Mark Andreessen (le co-fondateur de Netscape pour ceux qui débarquent) admet que PHP est supérieur à Java !

Ce qui est savoureux dans cet « aveu » c’est que Mark était un fervent adepte de Java dans les années 90, prédisant à qui voulait l’entendre que Java allait inévitablement « casser la baraque ». Or, on le sait aujourd’hui, il n’en a rien été…

Dernièrement, j’ai eu l’occasion de renouer avec Amy Porter (lors de la conférence que j’ai donné au Cercle Suédois). Avec Amy, j’ai eu des joutes mémorables à l’époque où elle représentait Sun (et donc Java). Aujourd’hui, Amy admet volontiers que Java est loin d’avoir atteint les promesses d’alors…

Ce qui est encore plus savoureux pour moi, c’est que je me souviens avec précision de ma rencontre avec ce même Mark Andreessen : cela se passait en juin 1997 (ou peut-être un autre mois, je ne sais plus bien sur ce point…) au CNIT lors d’une grande convention Netscape (Tristan Nitot doit s’en souvenir également…). J’avais été convié par Netscape France à venir interrogé le « maitre » car j’étais identifié comme analyste. L’interview s’était plutôt mal passé : le « maitre » ne comprenait pas pourquoi je n’étais pas de son avis quand il m’expliquait que la réécriture (en cours à ce moment-là… ça n’a pas duré !) de Netscape Navigator en Java allait résoudre tous leurs problèmes et finir d’écraser Microsoft. Mon septicisme irritait Andreessen au plus haut point et il me tourna le dos pour me signifier que l’interview était terminé. L’attaché de presse eu le plus grand mal à le convaincre de revenir me parler… ambiance !

Dans mon livre « Web client-serveur » j’expliquais dès 1998 que Java n’étais pas LA solution pour les applications Web…
Dans de nombreuses chroniques et tribunes publiées dans la presse informatique de l’époque, j’étais une des rares voix à ne pas céder à l’hystérie en faveur de Java (hystérie complétement injustifiée, on s’en rend enfin compte à présent).

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Open Office version 3, enfin pour Mac OS !

Je n’ai jamais été très fan d’Open Office dans ses versions précédentes : trop lent au démarrage, reposant trop sur Java (beuark !) et pas de support de Mac OS en natif (obligé de passer par du X11 ou sur des portages dérivés…).

Il semble que tout cela soit corrigé dans la version 3 que je teste depuis hier : démarrage plus rapide (sans être foudroyant toutefois), l’interface Mac OS est bien supportée (ça se voit tout de suite puisque le dialogue d’ouverture d’un fichier ou d’impression sont les dialogues natifs habituels) et le design général est en nette progression par rapport à la version II… Bref, encore une démonstration que la qualité en progression constante est bien du côté des projets Open Source !

Vous pouvez trouvez Open Office ici, essayez-le, c’est gratuit et sans risque…

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Amusant et bien fait : le epaper dont vous rêviez !

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*Quelle huile consommez-vous ?* Rectificatif !

Le document reproduit dans ce billet était un « hoax » (une fausse rumeur) !

Voir à http://www.hoaxkiller.fr/hoax/2008/huile-alimentaire-empoisonnee.htm

Désolé de vous avoir ainsi induit en erreur mais la source qui m’avait envoyé ce doc est digne de confiance et c’est pour cela que j’ai embrayé aussi vite (tellement digne de confiance que c’est cette même source qui m’a prévenu que c’était un hoax…). J’aimerais pouvoir écrire qu’on ne m’y reprendra plus…

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Un projet à venir : l’histoire critique de l’informatique moderne

J’ai un projet en tête : écrire une histoire critique de l’informatique moderne.

Il y a deux mots importants dans le titre de ce futur ouvrage : critique et moderne. Critique car il ne s’agit pas de simplement de récapituler ce qui est arrivé mais plutôt de comprendre comment (et pourquoi) on en est arrivé là. D’où le focus sur l’informatique *moderne* plutôt que sur toute l’histoire de ce domaine.

Quand commence l’informatique moderne ?
J’ai déjà traité ce sujet dans mon livre « le troisième tournant » (d’ailleurs, tous mes livres professionnels contiennent peu ou prou ce retour sur l’évolution historique de cette industrie, il est donc logique que je souhaite en faire le sujet principal d’un ouvrage autonome) : l’informatique moderne commence vraiment avec le système 360 d’IBM.

Bref, il ne s’agit encore que d’un projet mais j’espère pouvoir le monter avec des partenariat avec le Musée de l’informatique par exemple. Ce projet (si j’arrive à le faire naitre…) ne va pas se faire en autarcie mais plutôt de façon ouverte : en ouvrant un wiki pubic et en appelant à une large collaboration. En effet, j’aimerais bien inclure des témoignages réels pour illustrer les différentes phases de cette histoire.

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Un chassis en réduction de la 917 !

Grégory Wagner de Dynamic Concept est en train de préparer une reproduction très fidèle de la 917 au 1/6ème… Et, pour commencer, voici déjà une maquette du chassis. Voilà l’annonce de cette maquette :

Je me permets de revenir vers vous afin de vous présenter une nouvelle maquette exclusive à la société Dynamic Concept. Notre maquette du châssis de la Porsche 917K ne sera produite qu’à 25 exemplaires. Ce chiffre est historique car il correspond à la limite d’homologation pour la catégorie Sport. C’est en Avril 1969 que les 25 exemplaires de la Porsche 917 ont été présentés devant l’usine Porsche aux inspecteurs de la Commission Sportive Internationale (CSI). Après de longues et passionnantes heures de travail, nous sommes ravis de vous présenter notre Châssis Edition de la Porsche 917K N°023 qui a remporté l’édition des 24H du Mans en 1970 aux mains de Hans Herrmann et Richard Attwood.

De la conception à la production finale de notre prototype, nous espérons que vous apprécierez ce modèle avec autant de plaisir que nous en avons eu à le réaliser. Ce modèle est une exclusivité Dynamic Concept dans la mesure où nous avons été l’unique société à disposer des copies des plans originaux de l’usine. L’utilisation de ces plans et les mesures effectuées sur un châssis original (917-024, l’un des châssis utilisé pour le film Le Mans) nous ont permis de modéliser entièrement le châssis en 3D.

I – Etude des plans d’usine.  

II – Etude d’un châssis original (N°917-024).

III – Modélisation 3D du châssis N°23   

Les 25 exemplaires sont entièrement produits en France. Les châssis se composent de 186 tubes ayant, comme l’original, 6 diamètres différents. La maquette comprend une vitrine en plexiglas et un socle sur lequel est apposée une plaque en métal brossé.

IV – Prototype complet avec ses 186 tubes.  

Les dimensions extérieures du modèle sont comme suit :  

  • Echelle : 1/6ème
  • Longueur : 730 mm
  • Largeur : 370 mm
  • Hauteur : 195 mm

  Disponible : Fin Octobre / Début Novembre. Prix : 2 850 € TTC Chaque châssis est livré avec un certificat d’authenticité.

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iRacing : saison 3 bientôt terminée…

La saison 3 (la première vraie saison complète à laquelle je peux participer) est presque terminée : c’est la dernière semaine en ce moment.

Je suis assez satisfait de mes résultats puisque j’arrive désormais à faire des « top 5 » aussi bien en road (courses sur circuit avec la monoplace Skip Barber) qu’en ovale. Pour le moment (car le classement évolue tous les jours), je suis 503ème au classement du championnat Skip Barber (sur 1690 classés) et 374ème dans le championnat Late (courses sur Ovales, sur 1518 classés).

Surtout, ce qui me fait plaisir, c’est que j’arrive désormais régulièrement à terminer mes courses sans aucun incident et donc j’accumule les points au niveau de mon Safety Rating : le passage en licence « C » (je suis en « D » actuellement) est largement assuré aussi bien en road qu’en oval. Bref, tout va bien sur ce plan et j’apprécie toujours autant ce logiciel et ses courses super disputées.

Du côté de mes participations aux championnats GP79 sur Rfactor, ça va pas mal non plus : les championnats FFSCA et Master Serie sont dans leurs dernières parties et je fait partie des cinq premiers dans les deux classements, ce qui est plutôt pas mal (mieux que ce que j’espérais en début de saison anyway…).

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Nigéria : le scandale dont on ne parle pas…

Il suffit de lire l’interview de Jean Zigler « La crise actuelle est une formidable occasion de réveiller les consciences » paru dans Courrier International, extrait :

Le Nigeria, avec ses 100 millions d’habitants, est le huitième pays producteur de pétrole du monde et le premier pays africain. Pourtant, il importe 100 % des produits pétroliers raffinés dont son économie à besoin. Le Nigeria vit sous dictature militaire depuis 1966. 70 % de la population vit en dessous du seuil de pauvreté, plus de la moitié est gravement sous-alimentée et l’espérance de vie est de 45 ans. Le pays est en 159e position (sur 172) dans l’indice de développement humain. Les sociétés pétrolières occidentales, qui exploitent les gisements locaux, rapportent à la junte 18 milliards de dollars nets de royalties en 2007, alors que celle-ci maintient le peuple dans la pauvreté absolue. Voilà ce que représente l’ordre occidental au Nigeria.

Après cela, on s’étonne que les pays du Sud haissent l’occident !

Nous comprenons bien que les américains accumulent la haine partout dans le monde et cela nous parait justifié mais nous nous étonnons quand cette haine nous concerne aussi… Mais qui trouve-t-on pour exploiter les gisements de pétrole du Nigéria ?
Total… Eh oui, *notre* compagnie nationale !

Voilà pourquoi tous les occidentaux sont dans le même sac pour les pays du Sud : grands discours sur le devant de la scène, basses manoeuvres en coulisse. 

 

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Me rencontrer : prochaine occasion au RSI de Lyon le 14/10…

L’hermite des montages sort de sa cachette !

En effet, j’ai eu la faiblesse d’accepter une invitation à intervenir en conférence lors du salon RSI qui va se tenir à Lyon le 14 octobre. Et, histoire de ne pas faire les choses à moitié, je vais même mettre mon grain de sel dans 2 conférences : DSI3 à 13H30 (à propos de l’Open Source, un sujet qui m’est cher) et WEB6 à 17H00 (à propos des réseaux sociaux… quelle surprise !).

Entre les deux, il est également prévu que je fasse une séance de signature de la seconde édition de « les réseaux sociaux » qui est désormais largement disponible en librairie.

Voilà, vous savez tout, à bientôt peut-être…

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L’avenir du Web… Côté technique.

A la demande de Denis Failly, j’ai rédigé un petit article sur l’avenir technique du Web. Vous pouvez trouver « L’Après Web sur le plan technique » à cette adresse => http://entretiens-du-futur.blogspirit.com/archive/2008/09/25/l-apes-web-sur-le-plan-technique.html

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3 mois avec iRacing, le bilan

Aujourd’hui, ça fait pile trois mois que je suis inscrit à iRacing, ça vaut donc la peine de revenir dessus et faire un bilan déjà plus approfondi que mes précédents articles sur le sujet. Cette fois, je suis nettement plus négatif et cela s’explique facilement : avec le recul, les bons points restent positifs mais les défauts ont eu le temps de se montrer et c’est pour cela que ce bilan à trois mois va vous paraitre bien moins rose que mes autres revues sur iRacing.

Donc, commençons par le bon puisque je dois être plus critique : cette simulation est vraiment au-dessus du lot par la qualité et la finesse du comportement des voitures. Les vidéos comparatives qu’on trouve sur YouTube sont assez significatives de la fidélité des circuits reproduits, rien à dire de plus à ce niveau, c’est vraiment le top. Du coup, les utilisateurs commencent à être nombreux (entre 4000 et 6000 selon les sources) et ont voit quelques têtes d’affiches qui s’alignent plus ou moins régulièrement : Dale Earnhardt Jr mais aussi Jacques Villeneuve, entre autres (encore que, je n’ai pas eu l’occasion de les rencontrer/affronter lors des courses que j’ai disputé).

La qualité de la simulation vient aussi de l’absence de bug et de la stabilité online (très peu de déco pendant les courses et on peut revenir si ça arrive, c’est géré).

Le principal reproche que je ferais à iRacing aujourd’hui c’est que le service tarde un peu à évoluer alors que les lacunes les plus évidentes commencent à devenir pesantes : je pense en particulier à l’absence de drapeaux jaunes et bleus ainsi que de l’impossibilité d’enregistrer les replays. Certes, des nouveaux contenus (payants) sont disponibles régulièrement (comme le tracé de Sebring cette semaine) ou annoncé (comme la Lotus 79 ou le Truck Nascar) mais je préférerais tout de même que le coeur du service soit bouclé une bonne fois pour toute (surtout que les lacunes listées -il y en a d’autres mais celles-ci sont vraiment les plus criantes- paraissent comme quasiment déjà faites… Qu’est-ce qu’on attend donc ?).

Ensuite, même si le « safety rating » (SR) joue son rôle « d’amortisseur de comportement », il y a encore trop de cas où se retrouve dehors à cause d’un abruti qui se comporte comme tel. Finalement, sur ce plan, rien ne vaut l’auto-discipline stricte qu’on trouve dans le cadre des bonnes ligues (mais où, en revanche, on est rarement nombreux au départ des courses…). Là, il est difficile de l’imputer comme un défaut du système (encore que le fait de perdre des points de SR également quand on est victime et pas seulement quand on est victime est quand même difficile à digérer…), il s’avère que le besoin d’une surveillance humaine n’est pas rendue inutile pour autant.

Un autre point qui est frustrant, c’est que les saisons sont longues (12 semaines), les courses nombreuses et que la façon dont le classement s’établit n’est pas encore limpide. Sur ce plan, l’accès aux statistiques et la possibilité de les trier est encore largement améliorable.

Le nombre de participants aux courses est satisfaisant au niveau des licences basses mais c’est déjà plus délicat dès qu’on grimpe d’un étage (logique et la situation devrait s’améliorer avec le temps). Du coup, ça arrive de courrir dans un cadre non-officiel (les résultats de la course ne vont pas être comptabilisés dans le championnat de la série en cours) parce que le quota n’est pas atteint (c’est d’autant plus dommage que c’est justement dans des courses « off » que j’ai eu mes deux victoires !). Il y a donc des séries qui sont plus populaires que d’autres et on sent bien que certaines séries sont en « test » et ne survivront sans doute pas la prochaine saison…

Le point que je trouve le plus frustrant finalement, ce sont les voitures !

Dans celles qui sont disponibles, il y en a certaines que je n’aime vraiment pas et, pas de veine, c’est surtout dans les « routières » qu’elles se trouvent…

Inutile de revenir sur le cas de la Pontiac Solstice qui est vraiment une punition (quelle mauvaise idée d’obliger à commencer par ce veau !) mais le cas de la Formule Mazda mérite un examen -critique- : voilà une monoplace qui est bien plus rapide (et moderne) que la Skip Barber mais où le feeling est dramatiquement absent (au contraire de la Skip Barber qui est délicate à mener mais qui « envoi » un feedback intense de façon permanente, un vrai régal !). Cette voiture offre bien trop d’appuis et présente des réactions trop vives pour que je puisse prendre le moindre plaisir à son volant. Pas de chance, la série en licence C se courre sur cette voiture alors que je pense que ce serait 10 fois mieux d’utiliser la Radical (un petit proto moderne mais qui lui présente un bon feeling).

Bref, quand je vais être promu en licence C (pour le volet routier), je pense que je vais continuer en Skip Barber parce que la Mazda est trop décevante. Là aussi, dommage qu’on ne puisse pas revendre les voitures achetées sur un « aftermarket », ce serait une démarche intelligente pour iRacing même si, dans un premier temps, cela occasionnerait une légère perte de revenus.

Du coup, pour le moment, iRacing est surtout un paradis pour ceux qui adorent les courses sur ovales (et c’est pas mal non plus, croyez-moi !). Donc, plutôt orienté public américain qu’européen. Je pense que ça va évoluer dans le futur car iRacing ne peut se contenter de cette niche. Le développement sérieux du volet « routier » se fera sans doute plus tard, une fois l’anchrage sur le marché domestique (US) bien assuré.

D’ailleurs, à ma grande surprise, j’ai de bien meilleurs résultats dans les courses sur ovales (avec le modèle « Late ») que sur circuits routier (avec la Skip Barber où j’ai encore du mal à entrer dans le top 5 régulièrement).

Un autre point gênant concerne les commandes. Le volant (j’ai un G25 Logitech) à retour de forces est géré de façon spectaculaire (même si mon SimCom n’est pas encore reconnu -Frex y travaille-, le feedback est extraordinaire) mais on ne peut pas en dire autant du pédalier… Il y a un gros problème au niveau de la pédale de freins qui 1) est bien trop sensible 2) pas réglable !

Et, comme si ça suffisait pas, il faut recalibrer le pédalier avant chaque session pour avoir un rendu potable. C’est super-frustrant et on se demande pourquoi il laisse cela en l’état alors qu’il suffirait d’ajouter une sensibilité réglable en % pour corriger ce défaut…

Le dernier point critiquable concerne l’ambiance globale : c’est vrai que c’est assez froid par rapport à ce qu’on trouve dans une ligue où tout le monde se connait plus ou moins. Les courses ont lieu et, le plus souvent, tout le monde se barre sans un mot après, sauf si c’est pour s’engueuler suite à un accrochage. Là aussi, ça va sans doute changer (en mieux) quand un cadre sera mis en place pour les ligues et clubs « privés » mais, pour le moment, c’est encore trop sur un mode « compétition/consommation ».

Voilà mon bilan subjectif et incomplet après 3 mois d’utilisation. En le relisant, je m’aperçois que ça parait vraiment sombre… N’allez pas en déduire que je reviens sur mes premiers jugements et que, tous comptes fait, iRacing n’est qu’une grosse arnarque !

Je le redis encore : cette simulation est -selon moi- au-dessus du lot sur bien des points (les plus importants, toujours selon moi). Les courses sont nombreuses et très disputées et le logiciel est très stable. Avec le temps, tout cela ne peut que se bonifier et je suis heureux de faire partie des pionniers.

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La marrade du jour !

Non, ce n’est pas les « têtes à claques » mais ça nous vient aussi du Canada…
 

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Seconde édition des réseaux sociaux : dans les librairies le 3 octobre 2008

Encore une étape de franchie pour la seconde édition de mon livre « les réseaux sociaux » puisque j’ai reçu aujourd’hui même le premier exemplaire de cette ouvrage !

Le temps d’être distribué sur les points de vente et il sera disponible en librairie à partir du 3 octobre 2008. Prix public : 23 euros.

Sur cette photo, j’essaye de mettre en avant la mention « 2ème édition – actualisée et augmentée » parce c’est vrai !

 

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11/09 : le point de vue de Guilietto Chiesa

Guilietto Chiesa est un député italien du parlement européen. C’est également un des auteurs du film « Zéro, Enquête sur le 11 Sept ». Voici ce que dit Chiesa sur l’inquisition qui règne actuellement à propos de cette question tabou :

A propos du 11 septembre : qui est le comploteur ? Celui qui accepte la version officielle, selon laquelle 19 inadaptés, guidés par un monsieur qui ne sait pratiquement rien de ce qu’ils sont en train de faire, et qui se trouve à une distance de 20 mille kilomètres, dans une grotte afghane, arrivent à réaliser 75 % de leurs objectifs (trois avions sur quatre) en tuant environ 3000 personnes et en semant la panique la plus totale dans la première et unique superpuissance mondiale ? Ou bien, celui qui ne croit pas à une telle fantaisie, ridicule et insoutenable version des faits, et demande, simplement, qu’on lui en donne une version plus crédible, correspondante aux données qui vont désormais s’accumulant depuis cinq ans et ne peuvent plus être démenties ?

Arrivé en ce point, le mainstream de l’information s’est tu, a menti, déformé les faits, intimidé, censuré en s’autocensurant, au point de contraindre à en conclure que s’il y a eu un complot, ça a été celui des grands médias d’information : pour empêcher que le vrai complot, officiel, soit découvert et dénoncé. Une colossale opération de détournement de l’attention a été accomplie et la tromperie est devenu un fait historique d’une puissance granitique telle qu’il ne peut plus être, je ne dis pas démoli, mais même rayé de la moindre ombre de doute.

Voici une courte vidéo où Chiesa parle de son film :

 

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Pour comprendre la crise des « subprimes », la BD de la mort qui tue !

La crise financière actuelle est issue de la déconfiture des « subprimes »… Les « subprimes », c’est quoi d’abord au fait ?

Pas de problème, voici une BD sur PDF toute simple qui explique cela par le menu (l’origine de la BD est américaine mais les dialogues ont été traduit par Rue89.com) : subprimesrue89

On fois qu’on a vu cela, on a « tout » compris !

Edit du 10/10/2008 : cette vidéo (trouvée sur ECO89) où le rédacteur en chef du site américain Marketplace prend son crayon pour expliquer la crise financière aux internautes… Instructif !

Edit du 13/12/2008 : RUE89 persiste et signe !

Si vous avez eu la flemme de télécharger et de lire le pdf évoqué, voici la version en vidéo, minimaliste mais toujours aussi drôle et bien fait !

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Voir la vidéo de ma récente conférence…

Jeudi dernier, je participais à la conférence de lancement de la seconde édition de mon livre « les réseaux sociaux ». Si vous n’avez pu venir (il y avait une cinquantaine de personnes présentes donc, oui, il y a des chances que vous fassiez partie de celles et ceux qui n’avaient pu venir…), voici une seconde chance : la vidéo presque complète de la cette conférence.

Il manque toute la partie questions/réponses et débat mais voilà : en ces temps de crise, on ne peut pas tout avoir n’est-ce pas (humour douteux… OK, je sors) ?

à voir sur http://www.cluster21.com/video/video_des_6emes_rencontres_m21_les_reseaux_sociaux

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Connaissez-vous le « codex alimentarius » ?

Quand j’ai visionné cette vidéo pour la première fois, j’ai pensé « ‘c’est quoi ce délire ? » et puis j’ai fait quelques recherches basiques : on trouve la fiche wikipedia du codex et même le site officiel

Maintenant, à vous de vous faire une idée…

 

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Drôle de soirée à Hockenheim !

Hier soir, reprise du championnat Master Serie, GP79 sous Rfactor avec des courses qui représentent un vrai challenge : 100% de distance, 100% de dégats !

Nous n’étions que quinze au départ mais pour des épreuves aussi difficiles, c’est déjà beau d’arriver à attirer un plateau de qualité et c’est à Guillaume Siebert (surnommé « Bernie »… devinez pourquoi !) qu’on doit cette perf. Je fréquente assez le petit monde du simracing pour apprécier la performance à sa juste mesure.

En plus d’organiser ce très beau championnat, Guillaume est un pilote rapide et sûr : hier soir, il signa la pôle position mais n’en profita pas… Mortifié par son erreur au départ (il avait oublié de programmer le tour de formation et, du coup, le départ surpris tout le monde !), il s’est déconcentré et ne pu franchir la première chicane.

Car c’est là la première des conditions pour réussir dans ces courses : rester concentré sur son pilotage de la première à la dernière seconde. Il y a d’autres conditions (comme ne rien oublier dans la préparation de sa voiture : ni la quantité de carburant nécessaire -à condition de l’avoir calculé !- ni de régler les ouvertures -radiateur et freins- pour que le refroidissement permette à la voiture d’aller au bout) mais celle-ci, c’est vraiment la plus dure.

C’est pour cette raison que je suis particulièrement satisfait de ma course d’hier soir : alors que je déteste ce tracé, j’ai réussi à me maintenir à la 3ème place à 4 tours de l’arrivée. Un beau podium alors ?

Hélas non : un pb réseau m’a déconnecté à ce moment-là alors que je commençais à savourer ce résultat bien mérité (c’est comme ça, les déconnection font partie des aléas contre lesquels on ne peut rien). Mais ma légitime déception était très atténuée par le fait que j’étais vraiment satisfait par mon comportement tout au long de ces 41 tours (la course en faisait 45) : pas une seule erreur, rien à me reprocher !

C’est l’objectif que je me fixe avant chaque départ mais c’est rare que j’y arrive. C’est pour cela que j’étais particulièrement satisfait. La bonne attitude sur le plan mental (concentré, déterminé et assuré dans ses gestes) est plus difficile à obtenir qu’il n’y parait car vous êtes sous pression pendant chaque instant…

Ainsi, hier soir, j’ai passé le premier quart de la course à lutter avec Johnny Martens. C’était une lutte à distance, chacun avec un oeil sur l’écart… J’adore ce type de bagarre car le mental y joue un grand rôle. Cela fait désormais plus d’un an que je cours avec Johnny dans les championnats GP79 et je sais combien il peut être « vite » et c’est donc une grande satisfaction de pouvoir lui résister. Finalement, il abima sa voiture et ne représenta plus une menace (mais il parvint à terminer sa course).

C’est la loi de ce type d’épreuve : il faut être rapide pour avoir sa chance de figurer parmi les mieux classés mais c’est tout de même moins important que d’être fiable et d’être capable de terminer.

Pour cela, il faut être capable de laisser filer les plus rapides pendant les premiers « chapitres » de la course, il suffit d’être encore là pendant la conclusion pour être systématiquement bien classé. C’est pour cela que je n’étais pas inquiet de ma médiocre qualification (seulement 9ème temps sur 15, même en ayant amélioré mon meilleur chrono sur ce circuit) car j’étais très content de ma voiture en conditions courses (réservoir plein et pneus tendres).

Garder sa concentration est primordiale, même quand l’imprévu s’en mêle. Et c’est ce qui est arrivé à mon coéquiper Stéphane Fauries (Taz). Taz a été très surpris par le vrai-faux départ et a laissé filer pleins de concurrents pendant le premier tour, croyant encore qu’il s’agissait seulement du tour de formation… Une fois qu’il eu réalisé sa méprise, c’était trop tard : position et concentration envolée, il ne lui fallu que quelques tours pour achever de gâcher sa soirée en se sortant.

Pourtant, Taz est bien plus rapide que moi : même sans entrainement, même avec un setup bancal, il arrive toujours à signer des meilleurs chronos que moi lors des essais.

Je sais aussi que Stéphane Lebourhis est également bien plus véloce, j’ai pu m’en rendre compte à de nombreuses reprises mais, hier soir, cela ne lui a pas servi (éliminé mais je ne sais pas encore pourquoi). Cela a bien profité à son frère Alexandre qui signa ainsi sa première victoire parmi nous au volant de la seule Renault RS11 en course hier soir (mais je pense que si Othmane avait été présent, il aurait atomisé tout le plateau…).

Bravo à Franck Labédan qui a réussi à terminer (et qui a récupéré ma 3ème place du coup). Je suis particulièrement heureux de voir que Franck a trouvé le moyen de boucler une épreuve complète car c’est un vrai challenge, quelle que soit votre place à l’arrivée et je souhaite que Thierry Cassagne y parvienne lui aussi très vite.

Nous participons à ces courses pour ces moments-là : une intense satisfaction d’avoir réussi « quelque chose ». Et, croyez-moi, quand vous parvenez à maitriser ces voitures pendant 1H30 (tout en se bagarrant avec les autres), vous ressentez une gratification qui vous paye largement des efforts consentis.

Le SimRacing peut être aussi intense que la vraie course, j’en témoigne !

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Le point sur le 9/11

 

Nous venons de passer le 7ème anniversaire de cet événement majeur. Force est de constater que la thèse officielle ne s’est toujours pas effondrée et reste la version de référence pour la plupart des gens…

Voici un court résumé des différentes hypothèses sur ce qui s’est passé le 11 septembre 2001 :

#1 – L’histoire officielle : Oussama Ben Laden est le responsable, du détournement des avions par dix-neuf fondamentalistes musulmans, la Maison Blanche n’ayant reçu aucun avertissement 

#2 – La théorie de l’incompétence : 

 Accepte l’histoire officielle mais blâme la Maison Blanche, le FBI, la CIA, la NSA et les autres, pour ne pas avoir suivi les nombreux avertissements. C’est la ligne prise, avec une énorme affaire de dissimulation et de changements de direction, dans le rapport de la Commission sur le 11/9. 

#3 – LIHOP (« Laissons-les Arriver au But » ) : 

 Il y a un certain nombre de variations sur celle-ci. Il y est principalement sujet de la manière dont les factions des autorités usaméricaines et le secteur privé se rendaient compte des plans des pirates de l’air mais n’ont rien fait pour les arrêter, puisque le 11/9 était en conformité avec les objectifs politiques. 

#4 – MIHOP (« Les faire arriver au but ») : 

Les autorités US ou des forces privées ont projeté et effectué les attaques. 

 

Cependant, afin que vous puissiez faire évoluer votre opinion (ou la conforter), voici quelques documents à télécharger issus des sites spécialisés sur la question. Comme ces derniers sont nombreux, je me suis dit qu’un petit travail de sélection pourrait être utile…

 # 11 Septembre: dossier rouvert à Genève – TRIBUNE DE GENÈVE du MARDI 12 FEVRIER 2008 tribune_geneve_12_02_08

# Pourquoi en fait les bâtiments du World Trade Center se sont-ils complètement effondrés ? – article de Par Dr. Steven E. Jones  Physicient et Archaeometrist quelle-est-la-cause-reelle-de-l-effondrement-du-world-trade-center

# l’Interview surréaliste de lee Hamilton, vice-Président de la commission d’enquête sur le 9/11 – Émission de CBC canada le 21 août 2006 l-interview-surrealiste-de-lee-hamilton-vice-president-de-la-commission

# Le 11 septembre était-il un travail d’initié ? – Par Kim Bredesen, Le Monde diplomatique, édition norvégienne, Oslo, juillet 2006. le-11-septembre-etait-il-un-travail-d-initie

 

Il y a bien sûr beaucoup d’autres documents disponibles (présentations, articles et vidéos) sur différentes sites mais je pense que ces quatre là sont déjà largement suffisant pour se faire une idée… à condition de bien vouloir faire un effort afin de s’informer correctement sur un événement déterminant pour notre temps.

 

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